Lewis Hamilton offre enfin à Ferrari un week‑end positif à Austin, relançant la confiance.
Après une saison 2025 largement chaotique pour Ferrari manque d’appui, stratégie défaillante, développement suspendu — le Grand Prix des États‑Unis marque un tournant. Hamilton, aux côtés de son coéquipier Charles Leclerc, livre une performance autrement convaincante.
Un week‑end encourageant pour Ferrari
Ferrari avait suspendu le développement de sa monoplace 2025 pour se concentrer sur la 2026, ce qui l’a placée derrière rivaux tels que Red Bull Racing. Mais à Austin, Leclerc décroche la 3ᵉ place et Hamilton la 4ᵉ.
Le positif : la voiture a mieux répondu, et les deux pilotes ont su tirer leur épingle du jeu malgré un contexte difficile. Cela apporte un peu de répit aux tifosi.
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Hamilton revient en confiance
Hamilton a déclaré : « I’m finally feeling like I’m on top of the car ». Et pourtant : en terminant 4ᵉ il devient le premier pilote de Ferrari à accumuler 19 grands prix sans podium sous les couleurs rouges. Sur un plan plus personnel, ce résultat est un signe que Hamilton commence à s’adapter au fonctionnement et aux contraintes de Ferrari — tout en restant exigeant vis‑à‑vis de son équipe.
Hamilton et Leclerc ont tous deux reçu une évaluation positive de la part des médias italiens.« Une course dont on peut être fier », a commenté la Gazzetta. « Il a montré aux fans de Ferrari une voiture rouge capable de rivaliser avec les meilleures. Il a tenu Norris à distance aussi longtemps qu’il a pu. Pas mal ces derniers temps.
Ils ont ajouté à propos de Hamilton : « Il en va de même pour Leclerc. La stratégie de son coéquipier s’est avérée plus favorable, mais il s’est battu et a résisté à la McLaren de Piastri et à la Mercedes de Russell. Constant. »
Leclerc, un pilier indispensable
Leclerc décroche le podium (3ᵉ), soulignant que lorsqu’il est à l’aise avec la voiture, il peut encore tirer Ferrari vers l’avant. Son rôle est désormais plus crucial que jamais : pendant que Hamilton renoue petit à petit, c’est Leclerc qui doit continuer d’apporter les résultats. Cette complémentarité pourrait être la clé pour Ferrari.
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Au‑delà de ce week‑end prometteur, Ferrari devra traduire cette amélioration en régularité. Les prochains Grands Prix serviront à confirmer que ce sursaut n’était pas qu’un feu de paille. Les développements pour 2026 commencent déjà à prendre forme, tandis que l’équipe italienne doit décider si elle continue de viser le titre ou mise sur le futur.
Conclusion
Le Grand Prix des États‑Unis marque pour Ferrari et Hamilton un moment d’accalmie, un bol d’air après une année pleine d’embûches. Mais l’essentiel reste à venir : maintenir ce niveau, gagner en constance, et surtout concrétiser. Alors, lecteurs : que pensez‑vous que Ferrari doit faire maintenant ? Écrivez‑nous vos impressions et commentaires.
